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Le Blog des Chroniques de L'Eveil

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Au secours : J'en ai envie...mais je n'ai pas la motivation pour passer à l'action !


procrastination, flemme, blocage pour passer à l'action
Je n'arrive pas à avancer


Combien de fois, sentez-vous, au fond de vous, que vous avez envie de créer, de découvrir, d'expérimenter, ou de vivre un changement, mais quand il s'agit de passer à l'action, c'est la catastrophe !


Soit vous vous éparpillez en faisant tout, sauf, ce qui devrait être fait concrètement pour que votre projet voit le jour, ou que vous viviez l'expérience. Soit vous avez l'impression d'être comme figé-e, épuisé-e, bloqué-e ?

Ainsi, vous cultivez l'habitude de procrastiner, de culpabiliser, de vous dévaloriser ? Vous vous identifiez tellement à ces états ou ces pensées, que vous pensez que cela vous définit !

Et il n'y a aucun changement dans votre vie, aucune transformation, aucune évolution, aucune découverte, et vous vous enfoncez un peu plus dans une sensation désagréable et inconfortable en mode "je suis nul-le, je n'y arriverai jamais, je suis incapable..." et pourquoi pas des "mon père avait raison de dire que j'étais ...."pour bien enfoncer le clou !


comment arrêter de procrastiner et enfin passer à l'action
Désespoir, culpabilité, jugement et dévalorisation

Difficile d'avancer avec l'impression d'être à plusieurs à l'intérieur de soi ?

La partie volontaire, motivée qui veut y aller, qui espère, rêve et croit que tout est possible, et celle qui freine tout, qui a peur, et celle qui se sent bloquée sans savoir pourquoi, épuisée de ne pas y arriver.


Et dans ces cas là, ce n'est pas vers l'autre partie en nous que nous nous tournons, celle qui est plus sage, qui va nous rassurer et nous dire d'écouter nos peurs, nos émotions, et nous réconforter parce que nous sommes comme tous les autres êtres humains. Parce que, bien souvent, nous ne savons même pas qu'elle existe !

Non, on va plutôt se dire que la tante Micheline avait raison de nous mettre en garde, et que ça va donner encore une bonne excuse à notre père de dire que l'on fait n'importe quoi...


Les raisons et les solutions :


- Celle qui consiste à trouver des excuses partout à l'extérieur : "c'est à cause de la guerre, de la crise, de la pandémie, de mon conjoint, de mon enfant, de mon père, du propriétaire, du banquier, de l'administration...." le problème c'est qu'en restant en position de victime, vous ne pourrez pas avancer. Vous serez constamment dans le passé, ou l'anxiété de ce qui va advenir.


- Ou quand on a grandit avec la philosophie du mérite : "il faut en baver pour réussir" : beaucoup travailler, beaucoup souffrir, beaucoup donner...S'oublier, se couper de ses ressentis, de ses besoins...Et s'épuiser.

Et peut être même qu'à un moment dans votre vie, vous vous êtes tellement épuisé-e que vous avez fini immobile : burn-out, accident, dépression, maladies...Et que votre corps a enregistré qu'être trop dans l'énergie c'est se retrouver coincé-e, figé-e : et c'est ça qu'il ne veut pas revivre. Alors il préfère se préserver.


- Peut être que vous n'abordez pas votre projet, ou l'action que vous avez à faire avec la "bonne "intention. Si au lieu de vous persuader qu'il faut fournir des efforts pour réussir, vous vous demandiez quel est votre engagement dans ce projet, qu'est ce qui y donne du sens ? Qu'est ce qui vous donne l'élan, quel est votre objectif dans sa réalisation ?

La source de motivation serait différente.


Une maman qui se lève la nuit pour allaiter, réconforter ou soigner son bébé, elle a beau être épuisée, elle se lève, parce que ça fait partie de ses engagements dans son rôle de mère, dans ce qu'elle veut apporter à son enfant : de la présence, de l'écoute, de la confiance, du soin...


Aujourd'hui, il est difficile de patienter, de comprendre que la vie nous met en face de ce que nous sommes capables de gérer. Nous voyons tellement de gens qui vantent les mérites de leur réussite, qu'on oublie la face cachée de l'iceberg, celle à laquelle on se heurte et qui peut nous tuer, ou nous faire souffrir.


la réussite se fait grâce à l'expérience et au passage à l'action, ne croyez pas tout ce que vous voyez sur les réseaux
Image de l'iceberg et du succès (source internet)

- Parfois nous avons conscience qu'il y a cette partie difficile qui existe, on essaie de la fuir, comme si le fait de visualiser sur son canapé notre réussite aller suffire ! Mais non, la loi de l'attraction ou de la manifestation ce n'est pas ça !


Mais peut être que nous pouvons aborder la situation avec une autre paire de lunettes ! Et se dire que c'est un chemin, et comme lorsque l'on a apprit à marcher, manger, parler, courir, ou notre métier, il a fallu tomber, réessayer, y croire, faire des pauses, rater pour y arriver. Et maintenant, on le fait instinctivement sans réfléchir, naturellement, ça parait même évident ou facile.


Nous avons besoin de traverser des étapes, pour expérimenter, pour qu'ensuite, les tâches, et le chemin soient plus facile.


Si par exemple je rêve de faire des grandes conférences, je ne serai pas en capacité émotionnelle et peut être même que je n'aurai pas toutes les compétences, si je n'ai pas d'abord vécu des expériences, où je m'adresse à d'autres personnes.


La théorie ne suffit pas, j'ai besoin d'être suffisamment en confiance et en lien avec moi même, pour pouvoir m'adresser aux gens à haute et intelligible voix. Et je vais pouvoir m'entrainer à parler à voix haute, à faire de plus petites conférences avant, ou à faire des vidéos ou des épisodes de podcast.

Peut être que je vais prendre des cours pour placer ma voix, me déplacer sur scène...


Les injonctions d'autorité qui vous ont conditionné-e :


- Il est possible aussi qu'enfant, on ne vous laissait pas le temps de faire les choses, pour que ça soit "bien fait" ou "fait plus vite".


- Peut être qu'on vous demandait toujours d'attendre ? Et donc vous attendez la validation de quelqu'un pour concrétiser ce que vous voulez faire.

- Peut être qu'on vous a fait sentir que ce n'était jamais parfait, ou pas assez, et vous avez mis en place un fonctionnement "d'immobilisme tant que ce que vous devez faire ou dire n'est pas parfait". Moi, j'ai grandi avec le "je m'en fiche des notes des autres si elles sont pires, tu aurais dû faire mieux!"


- Peut être que vous aviez l'habitude d'être un enfant sage, et prendre des risques et sortir du cadre, est inenvisageable pour vous, ça vous paralyse, parce que vous avez peur de la punition.


- Les enjeux, la peur de l'avenir, la peur d'avoir peur, la peur d'être jugé_e, critiquée, peut aussi bloqué-e.

Je lisais, que les femmes ont parfois la peur de réussir, pas pour le succès, mais pour le fait qu'elles vont être critiquées pour leur côté masculin, de battante, de compétition...


Donc si vous avez des difficultés à passer à l'action, si vous vous sentez bloqué-e, comme si vous aviez un boulet au pied, il est possible que votre système nerveux, donc votre corps, votre nerf vague, et votre cerveau vous protègent de ce qu'ils croient être un danger, une menace.

Il est possible aussi que vous portiez des conditionnements ou des loyautés familiales, qui vous empêchent d'avancer. Ex : "il est impossible pour vous de gagner plus d'argent que vos parents", ou des personnes ont vécu de grosses faillites dans la famille, et vous portez la mémoire que c'est dangereux...


Si vous souffrez de la peur du jugement des autres, je vous offre une méditation de déprogrammation-reprogrammation pour vous en libérer.


C'est exactement sur ce genre de sujets que je suis utile pour les personnes que j'accompagne. Parce que j'ai l'expérience et les compétences pour les guider à comprendre, voir, entendre, ou ressentir ce qu'il se passe dans leurs corps au moment de passer à l'action, et que j'ai beaucoup beaucoup expérimenté ce genre de problématiques.


Je déteste le coaching au forcing, au mérite, j'aime les méthodes douces. Donc je vous guide avec des questions, pour que vous puissiez appréhender la situation autrement, plus en douceur. Ainsi, là vous pourriez vous demander : Quelle action nécessaire et appropriée je pourrai faire pour avancer dans mon projet ?


Nous observons ce qu'il se passe physiquement, émotionnellement, mais aussi nerveusement et intellectuellement. Et ensuite, nous faisons le lien avec des expériences passées, des traumatismes ou des mémoires transgénérationnelles. En portant un regard différent sur la situation, ou en mettant en lumière ce qui a besoin d'être exprimé, vu, reconnu, ou en rendant aux ancêtres leur histoire, et en régulant le système nerveux, la personne peut se libérer de ses blocages, pour enfin se reconnecter à ce qu'elle est.

Donc si vous avez envie de ne plus vous sentir freiné-e dans vos projets de vie, vous pouvez choisir les séances ponctuelles, ou l'accompagnement sur plusieurs semaines "je suis quelqu'un", ou l'expérience "cap ou pas cap", que j'organise ponctuellement. Envoyez moi un mail pour que l'on en discute : contactjuliemichaux@gmail.com


Découvrez l'épisode 18 du podcast dans lequel je parle de ce sujet sur mon site ou les plates-formes habituelles.


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